« Lady Hyacinth » : une longue escale rouennaise

Lady Hyacinth(brit)++Le 2 avril 1971, fait son entrée au port de Rouen le caboteur britannique Lady Hyacinth. Cette unité de 55 mètres de longueur et 650 tonnes de port en lourd, navigue depuis février 1950. Ce cargo a été réalisé par le chantier J.Pollock & Sons de Faversham (près de Sherness, dans l’estuaire de la Tamise) pour l’Amirauté britannique; il sera finalement livré à la navigation commerciale comme Goldlynx pour un transporteur de Londres. Le cargo va … Lire la suite...

Dans l’objectif : le liberty-ship cubain « Ignacio Agramonte »

Ignacio Agramonte(cuba)Chacun sait le rôle très important qu’ont joué les « liberty-ships » pendant la Seconde Guerre Mondiale. Au total, environ 2 700 navires de ce type ont été réalisés dans les chantiers nord-américains pour soutenir l’effort des forces alliées. A la fin de la guerre, bon nombre de liberty-ships ont été exploités sous divers pavillons permettant aux flottes décimées par le conflit de retrouver une capacité de transport. La France, par exemple, a reçu 75 de ces … Lire la suite...

« Saga Cob », un navire particulier

En janvier 1986, le port de Rouen reçoit un navire un peu particulier, le Saga Cob, de pavillon cypriote. Cette unité de 87 mètres de longueur et 13,16 mètres de largeur, présente une rare polyvalence : il peut tout à la fois embarquer des marchandises diverses, des produits pétroliers ou encore des conteneurs.

Le Saga Cob a été construit par le chantier suédois Gotaverken Solvesborg, installé dans cette dernière ville (située sur la côte Sud-Est de … Lire la suite...

En juin/juillet 1971, le port de Rouen reçoit… un brise-glaces

C’est un visiteur peu commun que le port de Rouen accueille en juin/juillet 1971 : il s’agit du brise-glaces norvégien Norhope. Cette touchée (inhabituelle) lui donne l’occasion d’embarquer du matériel à destination de l’île de Hopen, dans l’archipel du Svalbard (le Spitzberg), au Nord de la Norvège. Pour assurer le transfert des marchandises jusque sur l’île, le navire embarque aussi un « hovercraft » (bateau sur coussin d’air), unité qui acheminera le matériel jusqu’à terre, le … Lire la suite...

« Heye-P », fidèle des quais en Seine

Le port de Rouen compte de nombreux navires fidèles de ses quais. Au nombre de ceux-ci, on peut citer le caboteur allemand Heye-P, visiteur des postes rouennais, mais aussi de plusieurs installations portuaires en Seine fluviale.

Le Heye-P a été livré en 1967 par le chantier allemand Gebr Schlomer, implanté à Oldersum (une ville située en Basse-Saxe). Long de 48 mètres et large de 7,20 mètres, il pouvait embarquer 420 tonnes de fret. Le Heye-P a … Lire la suite...

« Nova » : première cargaison au terminal papetier

Dans le courant des années 60 et au début des années 70, le port de Rouen a accueilli régulièrement le navire suédois Nova de l’armement Rederi A/B Novator, domicilié à Norrkoping (Suède). Cette unité, livrée en juin 1963 par le chantier de Gefle, mesurait 73 mètres de longueur pour un port en lourd de 2 700 tonnes. Il assurait notamment le transport de papier journal au départ du port suédois d’Hallstavik vers Rouen, mais aussi d’autres … Lire la suite...

La nouvelle vie du « M.O.Logger »

La vie des navires de commerce est parfois jalonnée d’un changement de direction… C’est ce qui est arrivé au navire libérien M.O.Logger que le port de Rouen accueillait en août 1970.

Cette unité de 168 mètres de longueur et 16 300 tonnes de port en lourd, est construite en 1951 au chantier suédois Lindholmens Varv, implanté à Goteborg. Livré en mai, il va naviguer sous pavillon danois comme Nerma Dan. C’est alors un navire-citerne.

En 1964, … Lire la suite...

« Farringay », caboteur britannique habitué des quais rouennais

Au cours des dernières années de la Seconde Guerre Mondiale (1944 et 1945), deux chantiers britanniques des bords de la rivière Humber ont réalisé une série de 25 caboteurs d’environ 500 tonnes de port en lourd à faible tirant d’eau, toutes baptisées à leur mise en service d’un nom du type Empire F…. Ces unités ont été prises en charge par le MOWT, c’est-à-dire le Ministry of War Transport. Elles ont été confiées dans un premier … Lire la suite...

Les cinq porte-conteneurs « Sietas » de la Comanav

La Compagnie Marocaine de Navigation (Comanav) a exploité pendant de nombreuses années un groupe de cinq porte-conteneurs, tous baptisés de noms de villes marocaines débutant par la lettre « O », à savoir les Ouezzane, Ouarzazate, Ouirgane, Oulmes et Oualidia. Ces cinq unités ont toutes été réalisées par l’un des chantiers spécialisés dans la construction de porte-conteneurs, la société J.J.Sietas de Hambourg.

Dans un premier temps, la Comanav a réceptionné trois … Lire la suite...